samedi 10 décembre 2011

Ses yeux, qui avaient été brillants et plein de joie autrefois, avaient l’air absent, comme ils regardaient une scène d’un autre monde. Son sourire timide n’illuminait pas son visage comme d’habitude ; néanmoins, il ne montrait pas de soucis comme une petite vague qui arrive tranquillement au bord de la mer. Même si Gemma ne souriait pas forcement, les gens se promenant dans la rue remarquaient sa présence, car la couleur de ses cheveux châtains scintillait dans la lumière du soleil—dont les rayons brillaient très intensément sur sa peau olive pendant qu’elle buvait son café au crème à la table du café connu.

Tout d’un coup, elle s’est réveillée du rêve qu’elle voyait, et, en laissant un pourboire, et elle est partie le café qui portait trop de mémoires et elle cherchait, tout calmement, un autre refuge où elle ne sera pas tourmentée. Gemma se promenait dans les rues de Londres, ceux qu’elle connaissait depuis son enfance quand elle a passé chaque été dans l’appartement au quatrième étage sur Baker Street. Ce qu’elle savait de l’amour à ce moment-là ne lui donnait pas de bonnes impressions—une enfant oubliée des parents divorcés—mais son caractère l’encourageait de maintenir un esprit joyeux malgré toutes les circonstances. A l’âge de dix-sept ans, elle s’est promise, après une nuit quand les larmes teignaient son oreiller, qu’elle trouvera le vrai amour même si cette tâche prendrait sa vie entière. Aujourd’hui, en se promenant les mêmes rues mais des yeux plus âgés, un sourire est apparu indiscrètement quand elle y a pensé ; pourtant, la lumière qui est aussi apparu dans ses yeux a disparu aussi rapidement qu’elle est venue. Gemma a levé les yeux au ciel, demandant à Dieu ce qu’il faisait, et s’il s’est souvenu de la femme pathétique qui l’aimait une fois, mais a oublié son passion après les évènements récents. Gemma a soupiré en exaspération pendant qu’elle est entrée au Hyde Park. Elle avait un rendez-vous avec son cher copain, qui l’avait aidé pendant qu’elle a finalisé le divorce de son ex-mari trompeur. Il voulait lui dire quelque chose, de bonnes nouvelles, et pendant qu’elle s’est souvenu de ses mots bizarres, son rythme avait accéléré et ses pensées devenaient de plus en plus rapides et au hasard.

Un petit banc l’invitait de s’asseoir et rester ses jambes. Il n’existait pas de chiens qui était amoureux de Gemma et donnait sa vie de sa part ; il n’y avait pas d’enfants qu’elle devait regardant chaque seconde d’une minute pour assurer qu’ils sont au secours des dangers de la vie. La dernière réalisation lui donnait un gout amer, et quelques larmes se sont échappées de ses yeux éteints.

Gemma avait des méfiances que Dieu avait un sens d’humour, et ce qui s’est passé ce jour-là l’en a rassurée. Son ami est arrivé au même moment que les larmes sont tombées de ses yeux. Sans rien dire, il a pris la tête de Gemma dans ses mains en la regardant directement dans les yeux, et il a souri un sourire qui fera plaisir aux pleureuses et aux déprimés. Ensuite, M. Castner commençait à lui dire qu’il avait des sentiments pour elle, depuis qu’ils se connaissaient depuis leurs enfances. Des nouvelles larmes sont tombées des yeux de Gemma, des expressions de confusion et de joie qu’elle ne pouvait pas exprimer avec les mots. Après avoir parlé pendant des heures, Gemma l’informait qu’elle ne pouvait pas comprendre ses propres émotions et elle avait besoin de réfléchir, et elle est partie, son cœur tout en désordre.

La nuit offrait toujours de la paix pour réfléchir et pour se souvenir des évènements du jour passé, et son oreiller entendait plusieurs de pensées tendres et secrètes que personne ne d’autre savait. Ce secret, plus délicat que tous les autres, qui changera la vie du rêveur et ceux qu’elle connaissait, était révélé le jour suivant sur une pièce de papier sous la porte de M. Castner. Cette note portait le pouvoir de lui donner un cœur brisé, mais aussi d’offrir de nouveau espoir pour Gemma :

J’ai trouvé du travail à Paris. Je suis déjà partie. Je vais trouver aussi une nouvelle vie. Je ne t’oublierai jamais. Mais oublie-moi, je ne vaux pas la peine.

Une journée

Le réveille-matin sonne, le robinet marche, la cafetière goutte, tout est normal comme chaque matin chez Jules. Chaque jour depuis plus que cinquante ans, Jules suit sa routine. Il part, achète un journal du vendeur au coin, et va au café dans la rue prochaine. Les habitués sont tous là : l’homme avec l’air renfrogné et la serviette, la femme et un autre chapeau fou, et le jeune homme qui a toujours un cahier, un stylo, et un air pensif. Jules s’assied à sa table typique, et il commande un café sans crème et sucre. Le serveur le lui apporte, mais autre que les mouvements du serveur, personne n’interagit.


Jules parle rarement aux autres au café, mais il sait beaucoup de choses parce qu’il leur fait attention. Tous trois sont déjà assis quand Jules arrive chaque jour. L’homme avec la serviette, il n’est pas sociable parce qu’il reconsidère son travail pendant qu’il mange ses œufs. Il est stressé pendant le matin avant le travail au bureau sur la rue avec l’épicerie. La femme porte toujours un chapeau un peu fou. Elle a beaucoup de chapeaux, certains avec des couleurs, certains avec des motifs, des fleurs, où des plumes. Elle dit bonjour chaque jour, et quelquefois, elle demande comment ça va. Le jeune homme avec le cahier ne parle pas aux autres. Il a une seule tasse de café chaque jour, et il est assis au café pendant tout le matin. Il regarde fixement souvent Jules, mais il ne lui parle jamais.


Après que Jules a fini son café, il part le café, et il retourne à sa maison. Il range ses clés et son manteau. Ensuite, il s’assied lentement au balcon avec son journal, ses vieilles articulations protestent. Il pense. Il pense à sa vie et les personnes qu’il connaît. Rien n’avait changé, il pense. J’habitais en cette ville depuis toute ma vie, depuis beaucoup d’ans, mais je n’avais pas d’influence. Je vois les mêmes personnes chaque jour. Je sais beaucoup de choses d’eux, mais personne ne me connaît. J’éprouve seul. Il n’y a pas la raison pour moi de rester ici parce que personne ne me manque. J’irai sur un voyage pour visiter les autres places que je ne vois jamais. Rien ne changera après que je pars.


Le jour prochain, Jules n’est pas au café parce qu’il part sur un voyage. L’homme avec la serviette remarque que le vieil homme n’est pas au café. Cet homme est la personne qui se rappelle de quoi il veut faire après qu’il a fini travailler, une vie sans le stress. La femme avec le chapeau le remarque aussi. Elle manque l’homme qui lui rappelle chaque jour à son père. L’homme avec le cahier, il le remarque également, et il regarde sa nouvelle basée sur cet homme qu’il ne peut pas finir maintenant. À la maison de Jules, le réveille-matin ne sonne pas, le robinet ne marche pas, la cafetière ne goutte pas, rien n’est normal comme chaque matin chez Jules.

Une Fin Soudaine

Adam et Annette se sont assis à une petite table devant un café, regardant un petit sac de poudre blanche. Annette, toujours regardant le petit sac sur la table, fumait une cigarette, son visage calme. Elle était jeune, mais ses yeux étaient fatigués, ses cheveux étaient en désordre. Adam n’était pas âgé, mais il avait commencé à perdre ses cheveux et il avait perdu son optimisme il y a longtemps. Ses yeux noirs étaient alertes. Ils avaient été assis comme ça pendant vingt minutes. L’horloge sonnait cinq heures. Le soleil commençait à couler, on à rentrer chez eux. Mais les deux personnes restaient à la table, devant le café où Annette travaillait comme serveuse, en regardant le petit sac. Quand Annette a fini sa cigarette, elle a appliqué une nouvelle couche de rouge à lèvres rouge avant d’allumer la prochaine. Le mégot de la dernière cigarette sur le cendrier était déjà tacheté avec son rouge à lèvres rouge. Les yeux d’Adam soudainement se sont concentrés sur le mégot.

« Je ne comprends pas toujours votre rituel d’appliquer le rouge à lèvres chaque fois que vous fumez une nouvelle cigarette. Quel est le point? »

Elle expirait un nuage de fumée avant de répondre. « Je vous ai expliqué. Il est ma marque, ma signature. Nous voulons tous laissait une marque sur la monde. »

« Mais une tache sur un mégot ? Quel genre de souvenir est-ce ? Personne ne saura que c’est ta cigarette. » Un sourire froid et condescendant clignotait sur son visage. Elle fronçait comme elle a soufflé une colonne de fumée vers lui, silencieuse.

Le sourire s’effaçait, et Adam retournait son regard vers le sac de poudre blanche avec un froncement de sourcils. « Si je le fais, je peux disparaître du monde sans laisser de trace, sans un mémento, une tache, un souvenir…» Annette le dévisageait, un bras croisé sur sa poitrine, l’autre tenant la cigarette. La fumée enroulait comme une bannière dans l’air. Adam a levé ses yeux froids, noirs, et durs vers elle. Il se penchait vers elle. « Qu’est-ce que vous pensez ? »

Elle a levé ses sourcils en surpris. Dans la rue, un groupe d’amis riait. Les réverbères commençaient à briller. « Que m’importe ? »

Il la dévisageait pendant dix secondes. Puis il sourirait de son sourire froid encore, ses dents jaunes dans la lumière, et il a rit tranquillement. Il s’est penché en arrière de sa chaise et a ramassé le petit sac.

« Vous vous souviendrez de moi? »

Elle fronçait, perplexe. « Peut-être… »

« Hmph. C’est dommage. » Lentement, calmement, il a ouvré le sac, a versé les poudres dans son café, et sans hésitation a pris une gorgée. Ils se sont assis en silence pendant dix minutes, Adam sirotant son café, Annette fumant sa cigarette.

« J’ai toujours été jaloux des fumeurs. On peut s’en tirer avec juste d’asseoir et de penser quand on a une cigarette dans sa main. Sans la cigarette, on est juste à regarder dans l’espace. On pense que vous êtes fou. »

Une pause. « Je ne pense à rien quand je fume, » elle a répondu. Les gens dans a rue riraient encore.

« Il ne fait pas de différence maintenant, je suppose. » Silence encore.

Soudainement, Adam a levé ses yeux vers le ciel. « Regardez ! Une étoile ! »

Elle a levé ses yeux aussi. « Une étoile ? Dans la ville ? » Les gens dans la rue la voyaient aussi et ils criaient avec délice. Ils regardaient tous la petite balle de lumière.

« Vous savez que nous sommes fait de poussière d’étoiles ? » Annette a chuchoté. « Que, quand les étoiles sont mortes, les atomes nécessaires pour nôtre existence se dispersent dans l’univers ? »

« Je le crois, » Adam a répondu.

Ils ont sourit, regardant la petite balle de lumière, pas notant que la lumière grandissait, dévalant avec une vitesse alarmante vers un homme et une femme qui étaient assis à une petite table devant un petit café…

Un homme, un canoë, un dieu

“Qu’est-ce que…?” Jean s’a demandé quand le canoë a arrêté. Un corail a crevé un petit trou dans le flanc du bateau. L’atoll était caché de centimètres sous la surface. Voilà certes quelque chose dans le bateau qui peut colmater le trou. Il regardait autour de soi : il y a des petits bouts de papier, un crayon, les ossements d’un animal non identifié (probablement un rat où un suricate), une bouteille d’eau, deux rames, et un roman au sujet des chats. Le vent est mort complètement autour du canoë et le soleil de midi surplombait dans le ciel avec un air menaçant. Pourquoi avait-il été tellement stupide ? S’il a pu seulement se rappeler les circonstances de son départ. Quand Jean a achoppé dans le canoë, il a commencé à secouer de long en large. Il a trouvé qu’il a parlé tout haut, quand il a dit, « Je ne me rappelle pas comment j’ai arrivé dans ce canoë ». Il n’y a pas de terrain dans quelque direction. Jean a essayé d’utiliser les petits bouts de papiers pour essuyer son front. Il a raisonné que sa confusion mentale lui influencé—trois heures dans le soleil brulant peut affecter la mémoire de quelqu’un. « Si je peux me rappeler où je veux aller, il peut me donner une idée d’ou je viens ». Il essayait, mais il n’a pu pas se souvenir précisément où il a voulu aller. Jean était assis au centre du canoë et il a essayé de penser sur sa vie. Il a essayé de se souvenir n’importe quel fait de sa vie—en pure perte. Sa date de naissance, le visage de sa mère, même son nom de famille, tout hors d’atteinte comme les voix des personnes oubliées.

Tout à coup, Jean a entendu une voix : « Jean, écoute-moi ». Jean a lancé ses yeux au ciel. « Est-ce que j’ai imaginé ca ? Mais cette voix… » C’est plus réel que tous ses autres expériences. La voix a continué, résonnant avec la lucidité d’un feu sacré, « Je suis le créateur et auteur de votre univers…vous existez parce que j’ai choisi de vous donner la vie ».

En touchant le mer, Jean a dit : « Qu’est-ce que c’est ? Mon dieu… ». L’eau était froide sur ses doigts et sous le canoë, il était sombre et foncé.

« Jean » la voix l‘a annoncé, « je peux crée les univers sur les univers sur les univers et j’ai réservé une antipathie particulaire pour ce univers ». Inexplicablement, un essaim des rats est descendus du ciel. Ils sont tombés dans la mer, où ils ses démenés brièvement. Apres, ils sont descendus au-dessous de les vagues noirs.

Soudainement, les rats ont arrêté. Jean a caché son visage dans un bout du canoë. Il s’a aperçu une note de folie dans sa voix. « Je vous croix pas ! » Il a hurlé au ciel, en attendant une réponse. Aucun a donné. Jean a regardé le fond de son bateau : l’eau l’a couvert. Il a oublié complètement le trou dans la confusion. Mais il n’a fait rien. Il a pris les petits papiers et le crayon et a commencé une histoire tandis que le canoë a coulé dans la mer.

Ecrit 5: Il y a plus de choses dans les cieux et la terre


Anne-Sophie était une petite fille jolie avec un visage empressé qui était encadré par une frange mignonne. Sa manière optimiste donnait une fausse idée de sa confiance en les autres – elle était, surtout, un esprit scientifique, sans une croyance en les possibilités émotionnelles de l’esprit humain.
            Néanmoins, récemment, toutes ses convictions avaient été contestées par l’apparition d’un fantôme parmi les jardins de l’Université de Virginie. Il était un poète sombre avec une perspective cynique des possibilités du monde, mais une confiance illimitée en la capacité émotionnelle de l’être humaine. Cette capacité, selon lui, n’était jamais en conformité avec une formule comme la formule imaginée par Anne-Sophie. D’après lui, l’être humain était la chose la plus belle et la plus terrifiante du monde à cause de cette qualité imprévisible. Anne-Sophie, à cause de son esprit scientifique, croyait que à cause de la proximité du fantôme à l’Université, de sa manière sombre, et du corbeau gigantesque qui le suivait, il était Edgar Allen Poe.
« Mademoiselle, vous êtes une cynique, n’est-ce pas? » Poe a demandé à Anne-Sophie un jour de novembre.
            « Non, je sais la vérité de l’être humain, c’est tout. La vérité, c’est moi. »
            « Qu’est-ce que signifie ‘La vérité, c’est moi’ ? » Poe a dit à l’air théâtral.
            « Pourquoi est-ce que vous êtes très mélodramatique tout le temps ? »
            « Vous vous trompez sur le caractère et l’envergure de mes émotions, mademoiselle. Vous supposez que mes émotions sont superficielles quand l’inverse est vrai. Donc, votre supposition sur la capacité émotionnelle de l’être humain est fausse. Ce contre-exemple prouve ce fait. »
            « Les émotions soi-disantes que vous ressentez sont simplement le résultat de la circulation des produits chimiques dans votre cerveau. »
            Poe a regardé d’un air incrédule Anne-Sophie. « Pourquoi est-ce que vous croyez en cela? Qu’est-ce que signifie ‘La vérité, c’est moi’ ? »
            « Je me déteste. Je suis une personne égoïste, mais en fait, je suis la même que tout le monde. Pour durer, il faut croire en ce fait. »
            Néanmoins, elle n’était pas une créature méprisable, peu importe sa conviction. Anne-Sophie continuait avec élan sa poursuite de la science, et sa ferveur a attiré, bizarrement,  l’admiration d’un jeune poète, Jean. D’abord, elle tenait à bout de bras ses affections. Selon elle, Jean était simplement un autre Poe. Généralement, il lui agaçait, mais un jour, il l’étonnait.
            « Qu’est-ce que signifie ‘La vérité, c’est moi,’ Anne-So ? »  il l’a dit avec un sourire narquois.
            « Vous êtes le même que Poe ! »
            « Non. Je suis très différent. Je sais que la beauté est la vérité, et la vérité est la beauté. » 
            « Comment ? »
            « C’est tout qu’on a besoin de savoir. » Il a souri autre fois, et cette fois, elle a souri aussi et elle a rougi confusément.  
            Un jour, Jean n’est pas arrivé à l’endroit habituel d’Anne-Sophie, un banc juste à côté de la bibliothèque.
            « Qu’est-il arrivé ? » Anne-Sophie a demandé.
            Poe semblait encore plus mélancolique que jamais. « Il a quitté. »
            « Comment ? »
            « Votre Jean était John Keats. »
            « Comment ? » Anne-Sophie était rayonnante de choc.
            « Pour simplifier : quand les esprits sont inspirés par une cause ou autre, ils rendent visite à ce monde. Vous êtes une inspiration. Vous possédez la perception pénétrante et un cœur gentil et modeste, une combinaison rare. Keats rend visite à l’université à cause de ces faits, et il a quitté l’université pour vous montrer votre valeur. »
            « Ma valeur ? » elle a demandé, avec les larmes dans les yeux. « Une seule être humaine n’a pas de valeur dans l’immensité du monde. »
            « J’ai parlé de ce sujet, » Poe a répondu d’une façon exaspéré mais douce. Tout à coup, il a disparu.
            Anne-Sophie était, surtout, un esprit scientifique. Pourtant, il y avait des esprits qui avaient apprécié sa valeur. Le monde est immense, elle a pensé, et on est arrogant si on ne croit pas à la possibilité de la sagesse, ou l’amour, des fantômes.   

-Kathryn Lawryszek

Le Crayon

Madeleine s’est réveillée avec la tête sur une table dure. Elle s’était endormie en Starbucks après plusieurs heures d’étudiant. Pendant qu’elle dormait, Madeleine a eu un beau rêve de Jean Paul, le garçon qui elle avait rencontré au classe de calcul. Elle lui n’avait pas vu depuis leur conversation après la classe. Madeleine avait espéré qu’ils parleraient encore, mais Jean-Paul avait disparu. Elle a réalisé les temps et a rassemblé ses choses. Dans une demi-heure, elle passerait son final examen de calcul. Elle s’est souvenue du premier jour de la classe. Elle avait été en retard et la seule chaise ouverte était à côté de un garçon. Il demandait si elle avait un crayon qu’il a pu emprunter. Il a eu les yeux plus bleus que Madeleine a jamais vu. Quand il a retourné le crayon, les deux avaient promené et parlé ensemble. Madeleine s’est souvenue leur conversation exactement.

« Il est très ennui, n’est-ce pas ? » il a dit avec un sourire.

« Qui ? » Madeleine a répondu.

« La prof. »

« Oh, je ne pense pas qu’il est la problème. Le calcul est ennui, et si le sujet est ennui, la prof serait aussi. »

« Peut-être. Où tu vas maintenant ? »

« A Lefevre. J’habite-là. »

« Très bien ! J’ai une classe de psychologie à Gilmer. Tu veux promener ensemble ? »

« Oui, c’est bonne idée. »

Ils ont eu beaucoup des choses en commun. Aucun des deux n’aimait la classe de calcul, et les deux habitaient en Virginie-sud toutes leurs vies. Madeleine avait pensé qu’elle avait tombé amoureuse et quand Jean-Paul n’était pas en classe le prochain jour, elle avait anéanti. Chaque fois qu’elle est allée à la classe, Madeleine espérait que Jean-Paul serait là et chaque fois, elle avait déçu. Apres le troisième jour que Jean-Paul n’avait pas assisté la classe, Madeleine s’est résignée au fait qu’elle lui reverrait plus jamais.

Madeleine a arrivé à la salle de l’examen à l’instant que le professeur a commencé leur donner les examens. Pendant qu’elle essayait de concentrer sur l’examen, Madeleine a pensé des raisons pourquoi Jean-Paul avait arrêté assistant à la classe. Il était probable qu’il n’ait pas aimé la classe. En fait, quand ils avaient promené Jean-Paul avait dit qu’il détestait les maths. Mais Madeleine n’a pas pu s’empêcher de penser quelque chose terrible avait passé. Il y avait été un ouragan en Virginie-sud et plus des villes sont inondé. Si sa maison avait inondé, Jean-Paul serait allé chez lui pour aider avec les réparations. La pensée a été triste, et Madeleine a espéré qu’il n’ait pas été le cas. Tout à coup, le prof a dit que l’examen a fini. Madeleine a inquiété qu’elle avait été trop préoccupé. Avec un peu de chance, elle n’avait pas échoué à son examen. Madeleine a quitté la salle avec son esprit remplir des pensées de Jean-Paul. Quand elle a marché à l’extérieur, Madeleine a trébuché et a laissé tomber ses choses qui ont dispersé. Pendant qu’elle a recherché de tout, un homme avec une voix familière a dit « J’ai son crayon. » Madeleine a regardé l’homme dans les yeux bleus et elle a sourit. C’était Jean-Paul.

Simone

« Viens avec nous ! »

« Non, Simone, j’ai trop de travail et il est tard. »

« Ce sera une heure ! Ce n’est qu’une heure, Etienne. »

Mais Etienne a arrêté d’écouter. Il a déjà commencé à penser à autre chose, une chose très loin de là. Bien qu’Etienne ait pu entendre encore la voix de Simone, ses mots n’avaient pas de signifiance. Il s’est habitué à simuler l’acte d’être présent dans une conversation pendant qu’il pensait à quelque chose de différent. Cette nuit-là, il imaginait son lit dans sa chambre chaud, où il pourrait être seul.

Simone a vu que le jeune homme avec qui elle était en train de parler n’écoutait plus, et elle se fâchait. Etienne et Simone avaient fait la connaissance le premier jour de l’université quand ils entraient dans le même cours de philosophie. Chaque matin à 10h, les deux venaient à la classe et s’asseyaient dans la même place. Peu à peu, Simone et Etienne devenaient amis, mais Simone avait toujours le sentiment qu’il y avait quelque chose d’inconnu avec Etienne. Elle pouvait regarder de la tristesse dans ses yeux, mais Etienne ne se croisait jamais les siens.

Simone voulait désespérément savoir son histoire, mais il était très pensif, et ne parlait jamais de lui-même. Il y avait trois ans qu’elle essayait de vraiment connaître Etienne, mais comme ce moment-là, il avait eu impossible de lui parler. Chaque fois que Simone invitait Etienne à passer du temps avec elle et leurs amis, il avait une excuse. Toute la colère et toute l’exaspération que Simone se sentait pendant trois ans explosaient soudainement.

« Je sais que tu ne m’entends pas, Etienne ! Pourquoi est-ce que tu as toujours quelque chose à faire, que tu ne peux jamais manger ou étudier ou vraiment parler avec moi ?! J’étais ton amie depuis nôtre premier jour ici, mais je ne sais rien. »

Etienne ne pouvait dire rien. Il ne pouvait ni regarder ni parler à Simone. Pour la première fois, il ne pensait ni à sa chambre solitaire ni à autre chose d’éloignée. Il était complètement dans ce moment. Ses amis ne lui ont jamais parlé comme ça, et il n’était pas prêt. Simone l’a regardé avec un fixe si sincère qu’Etienne ne pouvait plus mentir. Tous les murs qu’il construisait depuis l’événement s’effondraient dans les yeux de Simone, les yeux si clairs et bleus de Simone. Etienne s’est attendu à ne jamais parler de son enfance avec les étudiants universitaires, mais il y avait quelque chose d’unique dans la voix de Simone.

« Simone, je ne voulait jamais parler de cette chose… Quand j’étais petit, quelque chose m’est arrivée. Je promets que tu es spécial dans ma vie, mais maintenant j’ai besoin de partir. »

« Non ! Etienne, dis-moi pourquoi tu ne peux pas te fier à moi. J’attendais pendant trois ans. Etienne, je suis ton amie, s’il te plaît, parle-moi. »

Etienne ne pouvait plus maintenir la façade. Avec une larme dans son œil, il l’a dit :

« Quand j’étais un enfant, ma jumelle est morte. Elle s’appelait Simone, et je la vois chaque fois que tu es dans les parages. Elle avait ses yeux, ses yeux exactement… »