Leur peinture blanche couvrant les bâtiments à travers l’université, les sociétés secrets m’intéresse beaucoup. D’ou viennent-ils, les grandes «7 » et « Z», assaillant mes yeux avec leurs figures nu ? Ils s’étalent sur les escaliers, faisant étalages de ses formes avec hauteur. Ils ne sont pas secrets, pas du tout.
Je marchais le long de la Pelouse. Je devais continuer pour retourner à mon cours à l’heure. Mais je me suis arrête – ce gars-là avait l’air d’être satisfait complètement pendant qu’il était assis. Je voulais m’arrêter pendant longtemps. Asseyant sur la Pelouse dans un rocking-chair – il n’était que assis et penser. Son plus grand problème était de se lever. Je me demandais – est-ce qu’il avait un autre rocking-chair pour moi ?
Je me cachais en dessous les branches de l’arbre. Les branches ressemblaient l’arbre de vie. Le monde ne me voyait pas. Ou était Ayşe ? Je me rappelais le film, Magnolia. Il faisait pleuvoir les grenouilles. C’était bizarre. Ce magnolia était très beaux mais il y avait une seule. Il y avait beaucoup de noms. Qui était Kylie?
La présence soudaine de l’orange et le vert brillants parmi les briques délavées attirait mon œil. Par le petit trou dans le mur, je pouvais voir un arbre et l’herbe, un jardin secret. C’était comme une petite fenêtre à un autre monde. Il y avait un air mystérieux et magique ; c’est toujours le cas avec les choses qui sont peu caché. L’éclat de couleur était fraiche contre le mur âgé, un petit trésor sur un matin gris et froid.
Il y’a le pont proche du Corner ou le train passe. Chaque jour, les mêmes personnes, ou je peux dire les étudiantes, passent sous ce pont mais personne ne pense qui passe notre ville avec le train. Les personnes différentes rencontrent environ ce pont mais personne ne sait une autre. Bien que les personnes soient à la même place au même temps et bien que chacun pense leurs mondes sont petits, ce n’est pas de vérité de la vie. Il me rappelle que le monde est grand et je suis rien quand je pense du monde. Après, je me demande, « Qu’est-ce que je fais ici ? » Il n’y a pas de réponse.
Elle se promenait, cherchant quelque chose qui pourrait lui donner un peu de paix. Le temps faisait Il était un jour trépidant donc elle cherchait asile, ou même quelque part où elle pouvait penser sans être interrompue. Il y avait des autres gens qui marchaient dans les rues, mais ils avaient l’air content et ils ne pouvaient pas comprendre ses sentiments même si elle les exprimait. Elle marchait et elle cherchait, et tout d’un coup ses yeux ont trouvé un lieu secret, caché du monde. C’était la chose exacte qu’elle voulait au moment-là, un refuge auquel son cœur demandait et dont son âme avait une forte envie. Un petit banc était là comme une lumière dans l’obscurité, en l’invitant de venir et de se reposer. Elle a accepté l’invitation avec plaisir.
Je voulais traverser la rue, la petite rue entre deux immeubles. Mais d'abord une voiture souhaitait me passer. Je l'avais vue, mais j'étais frappée toujours parce qu'il me semblait que la voiture venait de nulle part. Après l'être partie, je regardais à cette "nulle part". Je savais, bien sûr, que "nulle part" était, en fait, une ruelle, mais tout de même, j'aime à penser cette place tient bien des mystères.
Pendant le voyage de retour, je passais la statue de George Washington près de The Lawn quand j’ai vu quelque chose qui n’était pas ordinaire. Au début, je simplement continuais de marcher, mais ma curiosité m’a obligé de retourner. La chose étrange était un banc qui avait été poussé, j’ai supposé. Même le tremblement de terre ne pouvait pas casser le banc. Je pensais des gens intoxiqués et leurs nuits sauvages pendant quelques minutes. Apres ça, je suis retourné à la salle de classe avec une grande hâte puisque j’étais en retard.
Deux colonnes décolorées. Je les ai vues sur le Lawn, et je me suis demandé pourquoi elles étaient décolorées alors que toutes les autres étaient blanches. Sont-elles les plus anciennes colonnes sur le Lawn ? Ou sont-elles juste plus sales que les autres ? Comme si personne ne les a peintes depuis qu’elles ont été construites. Sont-elles spéciales ? Peut-être, peut-être pas. Bizarre.
Quand j’ai vu le « z » sur les marches pendant que je marchais, j’ai pensé à l’émission de télévision Zorro que je regardais tout le temps quand j’étais petit. Je l’aimais beaucoup, et je la regardais secrètement pendant des heures après mes parents allaient au lit. Dans l’émission, le personnage principal Zorro utilise souvent son épée pour laisser sa marque, un « z » qu’il fait avec trois coupes rapides et qui ressemble à celui de le la photo.
Souvent, quand je marchais, les endroits brouillait dans une scène ce qui n’était pas clair. Je fixais mon regard sur la destination et j’oubliais de voir des choses à droit et à gauche. Mais, quand nous sommes allés à l’extérieur à voir toutes les choses sans un objectif précis, j’ai pu aller à mon propre rythme. J’ai regardé un jeune homme qui s’est assis contre un grand arbre. Je l’ai trouvé captivant parce qu’il restait sans bouger. Il semble que cet étudiant n’a pas regardé le mouvement sous pression d’autres gens ou le bruit de fond des oiseaux et des voitures. À ce moment, j’ai voulu choisir un autre arbre alors que j’ai pu essayer de ralentir ma vitesse plus profondément. Malheureusement, j’ai vu mes camarades de classe marchaient plus vite au Corner. Au lieu de trouvant un arbre, j’ai pris ce photo de me rappeler de prendre les temps de me détendre à bientôt.
L'architecture de tous les bâtiments à UVa est si beau que même une journée si maussade que cette jour-là ne peut pas ruiner l'admiration que je sens quand je me promène dehors. C’est impossible de ne pas apprécier la beauté de cette bâtiment – les détailles en haut et sur le rampe sur la deuxième étage sont fabuleux et je suis très impressionnée avec les achèvements de l’architecte qui a crée cette chef-d’œuvre. 
Le sapin domine toute la nature avec sa verdure continuelle, sa présence majestueuse, et surtout son charme qui me touche profondément et me ramène à de jolis souvenirs et à des soirées vécu en famille pour les fêtes de Noël et du nouvel an, les plats délicieux, les rires et les blagues, et les merveilleux cadeaux pleins de surprises !
Les rocking-chairs forment une file qu’on peut voir disparaître dans la distance. Ils réfléchissent les colonnes et les portes qui bordent le Lawn entier. À partir d’ici, tout est la continuation du même. C’était comme si ce sentier continuait à l’infini, jusqu’à ce que la lumière aveuglant l’absorbe. Les deux couleurs opposées – le rouge et le blanc – créent un contraste aigu que seulement l’éclat à la fin du tunnel peut effacer. Les rocking-chairs ne font pas face à une seule chose. Leurs visages dirigent partout, comme si elles essayaient de s’évader la succion de l’infini. Rien ne peut l’évider. On peut seulement continuer jusqu’à la fin, comme les colonnes et les portes.
Derrière la rotonde, il y a une fontaine d’eau. Mais actuellement, la fontaine n’a pas d’eau. Il est vide, avec les feuilles à la place d’eau. Une fontaine sans l’eau est rien. En promenant près de la fontaine, je me sens désespérée et seule. Même avec beaucoup de potentiel, tout le monde ne réussi pas tous les temps.
-Megan Murphy
« Je t’aime, » il parlait tout seul pour la millième fois. Mais elle n’a pas entendu; elle ne serait pas là. Ses yeux fatigués cherchaient ses yeux d’émeraude dans la foule, ceux qu’il connaissait bien. Pendant il lui pensait, il frottait la tête. La rue était occupée, avec les étudiants qui parlaient et les oiseaux qui chantaient. Apres avoir gaspillé plusieurs de minutes en cherchant, il a abandonné et ses yeux ont retourné au sol. Il était assis sur le banc, pensait seulement à elle. Autour de lui, il y avait beaucoup de bruit, le temps faisait beau et le monde était heureux, mais à l’intérieur de lui, il y avait une tempête.
Il a bu son coca mais le goût n’était pas correct. Le goût a attaqué sa langue et il a rappelé les fois quand ils étaient sortis dans le parc et ils avaient bu des cocas ensemble. Il a soupiré et a roulé les manches de sa chemise bleue. En buvant une autre petite gorgée, son visage est devenu plus triste. Autour du banc, les gens étudiaient leurs livres bien qu’il ne remarque pas. Il était toute seul dans une grande foule sans elle.
L’image
CVS est sous un bâtiment très Parisien ( à mon avis). Sur le trajet, j’ai pensé à mon séjour à Paris spécifiquement du moment que je suis allée à la Tour Eiffel où j’ai vu tous les bâtiments à Paris. Devant le CVS, j’ai souvenu une mémoire inoubliable. C’était un bon trajet.
-Katherine Savage
