Anne-Sophie ne pouvait pas déterminer qu’est-ce qu’elle devait écrire. Il y avait une formule pour inspirer soi-même ? Une certitude mathématique qui s’était inscrit sur les contours de son cerveau, qui déterminerait l’aptitude à écrire les choses vraies et incisives ou non ? Anne-Sophie était une petite fille jolie avec un visage empressé qui était encadré par une frange mignon. Sa manière optimiste donnait une fausse idée de sa confiance en les autres – elle était, surtout, un esprit scientifique, sans une croyance en les possibilités émotionnelles de l’esprit humain.
Néanmoins, récemment, toutes ses convictions avaient été contestées par l’apparition d’un fantôme pendant les promenades habituelles d’Anne-Sophie parmi les jardins de l’Université de Virginie. Il était un poète sombre avec une perspective cynique des possibilités du monde, mais une confiance illimitée en la capacité émotionnelle de l’être humaine. Cette capacité, selon lui, n’était jamais en conformité avec une formule comme la formule imaginé par Anne-Sophie. D’après lui, l’être humaine était la chose la plus beau et la plus terrifiante du monde à cause de cette qualité imprévisible. Anne-Sophie, comme vous avez déjà lit, possédait un esprit scientifique. A cause de la proximité du fantôme à l’Université, de sa manière sombre, et du corbeau gigantesque qui le suivait, elle croyait qu’il était Edgar Allen Poe. Aussi, avec une manière aux génies de Borges, elle a accepté qu’il est probable qu’il y a des fantômes ou il y a un concept d’une fantôme dans l’univers immense.
-Kathryn Lawryszek
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