La femme à la banque

Elle attendait à cote de la porte rotative. Tout le monde passait autour d’elle quand ils essaient f banque. Elle avait l’air désinvolte, mais elle voyait toute la scène. Elle a attrapé son grand sac noir et prenne ses cigarettes. Lestement, elle enlevait une seule cigarette et commençait à fumer. L’excitation dansait dans ses yeux. L’excitation de faits inachevée. Elle restait contre le mur. Un homme, un touriste dans la ville, l’a arrêté (avec beaucoup hochement de la tête). « Excusez-moi, madame, mais… ou est l’hôtel Radisson ? » « Je sais pas, désolé—je ne suis pas d’ici ». Il n’avait aucune idée. Il continuait, et la femme a ri, doucement. Elle a regardé sa montre : 7h57. Elle a jeté et marché sur sa clope. Elle regardait tous les cameras dehors. Il n’y a pas sentiment comme ce qu’elle éprouvait maintenant. Elle ne fait pas ceci pour l’argent mais pour les émotions fortes. Nonchalamment, elle a mis son capuchon sur ses cheveux bruns. Elle pourrait être belle, dans le sens superficiel, mais pas maintenant : il y avait chose plus important pour s’inquiéter. Après vérifiait qu’elle a ses instruments de travail, elle regardé sa montre encore. 8h00—c’était l’heure. Elle a détaché un dernier coup d’œil avant d’entrer le hall.