
Je voulais traverser la rue, la petite rue entre deux immeubles. Mais d'abord une voiture souhaitait me passer. Je l'avais vue, mais j'étais frappée toujours parce qu'il me semblait que la voiture venait de nulle part. Après l'être partie, je regardais à cette "nulle part". Je savais, bien sûr, que "nulle part" était, en fait, une ruelle, mais tout de même, j'aime à penser cette place tient bien des mystères.
J’aime ce passage parce que je marche cette rue chaque jour. Je ne pense jamais d’une autre perspective, de « nulle part». Pour moi, il y n’a pas un mystère parce que c’est la rue à mon maison. Pour autres, ce n’est qu’une rue. Bonne utilisation des fragments et pensées.
RépondreSupprimerJ'aime ta perspective en écrivant sur cette photo. La photo a l'air sombre et seul, et ton angle, avec la rue entre les immeubles, est créatif. Ça me souvient des rues en Europe, parce qu'il n'y a pas beaucoup d'espace entre les deux immeubles, et le ciel est gris et couvert. J'admire l'imagination que tu as utilisé en l'appelant "une rue à nulle part."
RépondreSupprimerCes pensées sur cette rue sont uniques. Pour beaucoup de gens, cette rue est ennuyeuse parce que on le voit chaque jour sans y penser, mais tu t'arrêtais à penser. Aussi, j'aime l'homme dans la photo parce que il ajoute à des mystères parce que on ne sait pas quoi il fait.
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