Quand on fait l’autobus, c’est comme un voyage à travers du temps.
On commence dans la forêt.
Les arbres deviennent maisons, qui deviennent bâtiments, qui deviennent églises et voitures et feux rouges. Toutes les choses commencent à la forêt et finissent dans un parking.
Un vieil homme court à travers du temps. Il arrive aussi pour faire cet autobus.
Pendant que toutes les choses changent, le ciel est toujours le même. Il maintient.
Le ciel bleu.
Autre fois, on part des arbres à la modernité.
Des feux rouges, aux bâtiments et maisons et arbres, on retourne au commencement.
J'aime que le poème indique un cycle, et la répétition du ciel s'assure que le cycle a une image centrale.
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