J’erre le long du vestibule, et je m’arrête quand je vois l’instantané que la fenêtre à droit laisse voir. Je regarde le monde ici. Les colonnes blanches encadrent la scène. Les étudiants passent entre les colonnes, apparaissant et disparaissant entre les grandes lignes blanches qui partagent la scène. Ils se dépêchant à ses cours. Quelques-uns s’arrêtent et parlent aves leurs amis pour un instant, mais la plupart marchent sans cesse, distraient par rien, absorbés à arrivant aux cours à l’heure. En contraste, les autres gens sont assis sur les marches dans l’amphithéâtre. Il y a deux moitiés de cet arrangement : certains se cachent du soleil en l’ombre des immeubles, se penchant à protéger leurs visages. Mais il y a les autres qui se chauffent au soleil. Ils aiment la chaleur que les rayons leur donnent, se la délectant avant l’été se passe et personne ne reste à l’extérieur. Un homme marche au-delà de l’amphithéâtre, portant deux rames rouges. Ils sont bien visibles contre la façade de Garrett Hall qui occupe l’arrière-plan. De l’autre côté de l’amphithéâtre, beaucoup de gens visitent en masse les deux kiosques, un rouge et l’autre blanc, pour la nourriture. Les débris des kiosques s’accumulent dans le secteur, gâchant la scène avec les monceaux de boîtes en polystyrène. Ici, à cette fenêtre, je peux voir le cœur de l’université qui passe, mais à l’intérieur, je reste de l’autre côté du centre.
J'aime beaucoup la ligne quand tu décrit d'étudiants "apparaissant et disparaissant", parce que je sais exactement l'image. Aussi, l'idée que ce petit description est un instant dans la vie traduit à lecteur. Malgré cela, je suis confus par le dénouement: qu'est-que tu veux dire par le dernière phrase?
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