jeudi 20 octobre 2011

Les Mots

Chaque personne, jeune ou vieux, imaginatif ou pas, me connaissaient. Je me trouve sur les bureaux, dans les salles de classes, et aussi sur les étagères à livres de chaque enfant. Ils ont eu hâte de me lire avec mes six frères fabuleux. Les gens ont fêté quand je suis né et aussi avec la naissance de mes frères. Les gens étaient heureux partout du monde. Les jeunes ont réalisé que, des fois, le temps dépensé en lisant est mieux que la vie réelle. Je suis le produit d’une imagination très active. J’étais très bien écrit et ça, c’est la raison que tout le monde m’adorait et m’adorera toujours. La seule chose triste est que je ne peux pas me lire, parce que personne ne m’a laissé en face d’un miroir. Cette information était les mots des autres livres qui me voient toujours. Dans me yeux, mes frères sont extraordinaires et je suis normale.

Le livre de psychologie se trouve dans le sac d’un étudiant. Il n’y a pas d’espace pour lui. Il est coincé parce que, dans les yeux de l’étudiant, le livre et l’ennemi. Ce livre méchant contribue aux nuits trop longes avec trop de devoirs pour l’étudiant. Le livre doit être punir. Il est condamné de vivre sans un ami. Le livre cherche un ami dans son maître, mais le maître utilise le livre de psychologie seulement pour la connaissance du livre. Le maître ne veut pas être le seul ami du livre. Le livre de psychologie restera dans le sac pour presque toute de sa vie, sans des amis, et sans son maître qu’il adore.

Le cahier, avec son ami le stylo, sera beaucoup aimé. Il aura un maître qui communique chaque jour avec lui. Il se trouvera toujours serré dans les bras de son maître. Il sera toujours près du cœur de l’écrivain. C’est un peu comme les deux partageront un cœur. Les sentiments de l’écrivain seront les sentiments du cahier, transfert par le stylo. Le cahier aura beaucoup d’admirateurs, comme le roman de « Harry Potter », et ce cycle de mots continuera avec la grande aide du cahier.

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