vendredi 9 décembre 2011

La Maison du Sacré-Coeur

     Elle regardait La Maison du Sacré-Coeur où elle serait devenue une femme. La place où elle avait trouvé elle-même dans les murs sanctifiés et, en fait, avait trouvé son enfance. La place où elle avait trouvé une mère par hasard et était tombée amoureuse avec la vie. Peut-être, il serait un mensonge pour dire qu’elle trouvait une mère car ce n’est pas vrai. Elle avait acquis plus qu’on pourrait comprendre. Et, aujourd’hui, elle partirait pour les autres voyages et partirait la sécurité de Chianciano Terme.
     Aujourd’hui, en regardent La Maison qui semblait qu’être sa propre ville sur la colline, Chianciano Terme, la petite ville où elle avait découvert La Maison, est devenue plus réelle.  La ville qui avait logé sa maison chère est devenue plus grande à cet instant. Elle regardait fixement la maison jaune qui était simplement une maison, rien de plus. L’odeur douce et envahissant des oliviers jeunes l’est enveloppée.
    Ce matin particulier serait un moment important pour elle. Elle s’arc-boutait mais elle savait que tous ses efforts étaient en vain. Elle appuyait sur la grande porte en bois et entrait dans le foyer de la maison. Allumé sombrement et un peu froid, elle marchait prudemment sur la tomette afin de marcher sans bruit. Ses chaussures savaient qu’elle voulait être silencieuse et il semblait qu’ils faisaient le plus bruyants du monde. Elle savait que si une personne l’entendait par hasard, elle aurait voulu l’embrasser. Elle retenait les larmes et elle les avalait durement. En marchant dans les galeries vers la salle à manger, elle avait le sentiment de son dernier repas. La clochette sonnait et elle entrait dans la cuisine. Bien qu’il ne soit eu pas nécessaire d’aider avec les repas, elle se trouvait toujours dans la cuisine en demandant ce qu’elle pouvait faire pour sa famille.
   Elle s’asseyait à la table et elle regardait sa famille : un group des femmes fortes qui étaient toutes ses mères. Le couvent serait devenue sa maison. Là, elle avait appris comment être forte et aussi, la signifiance d’être une femme. Et, ce soir était le dernier soir dans le couvent, de façon appropriée, les murs étaient ornés avec les peintures de la Cène. Après une prière, un silence les enveloppait pendant que toutes les femmes mangeaient. Du vin et du pain étaient partagés. Toutes souriaient tristement et elles commençaient à se lever. Elle est levée et elle regardait vers la fenêtre. Il semble que Dieu ait pleuré avec elle dans ce moment. Les oiseaux qui étaient contents autrefois, maintenant, ils ne chantaient plus. Le soleil aussi, caché dans le ciel semblait que dire qu’il soit eu triste.
    Elle est partie la salle après quelques moments persistants et elle marchait vers la grande porte. Elle savait qu’elle avait besoin de partir aujourd’hui mais elle ne pouvait pas. Elle commençait à pleurer en silence pendant que toutes ses mères l’abordaient et elles lui donnaient une étreinte. La dernière étreinte serait la plus difficile, elle savait, parce que cette sœur était sa préférée. Les deux se regardaient et elles savaient sans les mots, l’amour entre les deux. À ce moment, leur amour était infini. 

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