samedi 10 décembre 2011

Un homme, un canoë, un dieu

“Qu’est-ce que…?” Jean s’a demandé quand le canoë a arrêté. Un corail a crevé un petit trou dans le flanc du bateau. L’atoll était caché de centimètres sous la surface. Voilà certes quelque chose dans le bateau qui peut colmater le trou. Il regardait autour de soi : il y a des petits bouts de papier, un crayon, les ossements d’un animal non identifié (probablement un rat où un suricate), une bouteille d’eau, deux rames, et un roman au sujet des chats. Le vent est mort complètement autour du canoë et le soleil de midi surplombait dans le ciel avec un air menaçant. Pourquoi avait-il été tellement stupide ? S’il a pu seulement se rappeler les circonstances de son départ. Quand Jean a achoppé dans le canoë, il a commencé à secouer de long en large. Il a trouvé qu’il a parlé tout haut, quand il a dit, « Je ne me rappelle pas comment j’ai arrivé dans ce canoë ». Il n’y a pas de terrain dans quelque direction. Jean a essayé d’utiliser les petits bouts de papiers pour essuyer son front. Il a raisonné que sa confusion mentale lui influencé—trois heures dans le soleil brulant peut affecter la mémoire de quelqu’un. « Si je peux me rappeler où je veux aller, il peut me donner une idée d’ou je viens ». Il essayait, mais il n’a pu pas se souvenir précisément où il a voulu aller. Jean était assis au centre du canoë et il a essayé de penser sur sa vie. Il a essayé de se souvenir n’importe quel fait de sa vie—en pure perte. Sa date de naissance, le visage de sa mère, même son nom de famille, tout hors d’atteinte comme les voix des personnes oubliées.

Tout à coup, Jean a entendu une voix : « Jean, écoute-moi ». Jean a lancé ses yeux au ciel. « Est-ce que j’ai imaginé ca ? Mais cette voix… » C’est plus réel que tous ses autres expériences. La voix a continué, résonnant avec la lucidité d’un feu sacré, « Je suis le créateur et auteur de votre univers…vous existez parce que j’ai choisi de vous donner la vie ».

En touchant le mer, Jean a dit : « Qu’est-ce que c’est ? Mon dieu… ». L’eau était froide sur ses doigts et sous le canoë, il était sombre et foncé.

« Jean » la voix l‘a annoncé, « je peux crée les univers sur les univers sur les univers et j’ai réservé une antipathie particulaire pour ce univers ». Inexplicablement, un essaim des rats est descendus du ciel. Ils sont tombés dans la mer, où ils ses démenés brièvement. Apres, ils sont descendus au-dessous de les vagues noirs.

Soudainement, les rats ont arrêté. Jean a caché son visage dans un bout du canoë. Il s’a aperçu une note de folie dans sa voix. « Je vous croix pas ! » Il a hurlé au ciel, en attendant une réponse. Aucun a donné. Jean a regardé le fond de son bateau : l’eau l’a couvert. Il a oublié complètement le trou dans la confusion. Mais il n’a fait rien. Il a pris les petits papiers et le crayon et a commencé une histoire tandis que le canoë a coulé dans la mer.

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